14/09/2020.
Dans une relation amoureuse, c’est le premier pas qui coûte le plus : saut dans l’inconnu, lâcher-prise et confiance…
En cette période et malgré la crise sanitaire et économique, beaucoup d’entreprises peuvent être encore frileuses au changement. Le télétravail n’est pas une démarche facile. Nous craignons de repenser nos conceptions liées à l’organisation du travail.
Pourtant, toutes les études que l'on a pu conduire partout dans le monde depuis 10 ans tendent à montrer que l'on est plus heureux quand on travaille à distance.
Dans les entreprises qui ont choisi de franchir le pas du télétravail, les managers et collaborateurs en récoltent des fruits incalculables : motivation, créativité, équilibre de vie, sentiment d’appartenance, gain de productivité, flexibilité, organisation…
La confiance est la clé de voûte d’une organisation saine et performante. Connaître ses équipes, ses talents, ses singularités, ses difficultés mais aussi s’adapter au besoin de liberté en particulier des générations Y et Z. Il est temps de s’ouvrir à une vision plus agile du travail. Requestionnons le sens de nos missions. Bousculons le cadre !
Ces nouvelles façons de travailler permettent une plus grande autonomie et pro-activité des collaborateurs. Par ailleurs, le besoin d’agilité se ressent jusque dans les choix d’outils de travail : les échanges par mail ont laissé place à des outils de communication par projets collaboratifs partagés (Slack, par exemple). L’agilité fait donc partie des compétences primordiales pour qu’un employé soit capable d’évoluer dans un environnement qui peut changer rapidement, où réactivité et raisonnement critique sont de mise.
Mais le télétravail n’est pas sans risques : il doit être accompagné. Comme dans un couple, cela nécessite une excellente communication, des adaptations et des ajustements dans les pratiques managériales et le suivi des collaborateurs. Il doit s’ancrer dans une relation gagnant-gagnant qui accepte la remise en question.
Alors, prêts à franchir le pas ?
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